
Pascal GASQUET
Secrétaire Départemental
Représentant au CTSD et au CDEN (titulaire)
Également secrétaire départemental de la FNEC FP FO (fédération de l’éducation FO) et de la FGF FO (fédération FO des fonctionnaires).
Membre du bureau national du SNUDI FO.
Permanences: lundi et mardi après-midi, jeudi et vendredi matin

Vanessa POZZOLINI
Secrétaire Départemental Adjointe
Titulaire à la CAPD (carrière, promotions,mouvement, situations individuelles, congés…).
Organisateur des RIS et tournées d’écoles.
Responsable AESH.
Permanences: le mardi.

Céline JEAN
Trésorière
Titulaire à la CAPD (carrières, promotions, mouvement, situations individuelles, congés…).
C’est elle qui s’occupe de vos adhésions, renouvellement…Enfin, de la trésorerie quoi!
Permanences le jeudi.

Isabelle CHENOU
Secrétaire départemental adjointe
Représentante au CHSCT départemental et académique (défense de la santé physique et psychique des personnels, conditions de travail).
Élue CAPD (carrière, promotions,mouvement, situations individuelles, congés…).
Permanences: un lundi sur deux et le jeudi.

Amandine LAMOULIE
Secrétaire Départementale Adjointe
Notre représentante en Commission de Réforme et en CAPD (carrière, mouvement,promotions, situations individuelles, congés…) Permanence: le lundi.

Jacqueline BEX
Trésorirère adjointe
Responsable du secteur de la circonscription de Manduel.
Permanences: le vendredi.

Laure PELLET
Secrétaire departementale adjointe
Représentante au CTSD ( carte scolaire, gestion des postes, plan de formation…).
Représentante au CDEN (organisation et gestion des établissements scolaires).
Responsable des remplaçants.
Permanence le mardi.
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Stéphane COUSTILLAC
Secrétaire départemental adjoint
Représentant au CTSD (carte scolaire, gestion des postes, plan de formation…)
Représentant au CDEN (organisation et gestion des établissements scolaires).
Spécialiste des questions retraite.
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Et tout plein de militants pour te conseiller, t’informer et défendre tes intêrets.

Julie FABRE-TURC
Secrétaire départementale adjointe
Responsable du secteur d’Alès..
Permanences un mardi sur deux.

Alexandra ARNAUDET
Secrétaire départementale adjointe
Suppléante à la CAPD (carrière,promotions, mouvement, situations individuelles, congés…)
Responsable des PES.
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Nos positions et revendications
Défense du statut de fonctionnaire d'État
Le SNUDI FO se bat pour la défense du statut de fonctionnaire d’État et des garanties statutaires des enseignants du premier degré. Nous voulons l’abandon du projet de décret modifiant les ORS des PE, et l’abandon des 108 heures pour tous les collègues.
Nous nous opposons à ce projet de décret qui crée de nouvelles « missions » pour les PE, remet en cause la référence aux 36 semaines d’enseignement en la remplaçant par la notion d’année scolaire sans durée définie, engage un processus de mise en place des 1 607 heures annualisées contre le statut actuel, introduit l’obligation pour les PE de participer à la liaison école-collège, tente d’imposer une « forfaitisation » des 108 heures qui, sous couvert de responsabilisation individuelle, aboutit à la flexibilité et à leur dépassement…
Pour une augmentation du point d'indice
Le point d’indice est la base de rémunération des fonctionnaires. Son évolution est bloquée depuis près de 10 ans.
Dans le même temps, l’inflation officielle a été de 15%, c’est autant de pouvoir d’achat perdu pour tous les fonctionnaires alors même que nos missions se sont complexifiées. Nous ne méritons pas une telle sanction.
Nous exigeons donc au minimum une augmentation de 15% du point d’indice et une indexation à minima sur l’évolution réelle du coût de la vie.
Plus spécifiquement pour les enseignants, notre rémunération est à la traîne par rapport à la grande majorité des pays développés alors même que notre charge de travail est l’une des plus élevée. Voir le comparatif ICI.
Abandon du décret sur les rythme scolaires
La réforme des rythmes scolaires et les PEDT conduisent à la territorialisation de l’école au détriment du caractère national de l’enseignement. Cette réforme aboutit à remettre en cause l’école républicaine en donnant la priorité aux activités péri-scolaires et en remettant en cause la mission d’instruction de l’école.
Elle aboutit à favoriser l’ingérence des élus locaux dans le fonctionnement de l’école mais aussi dans les droits et devoirs des PE et instituteurs (définition des horaires scolaires, organisation pédagogique, utilisation des locaux scolaires pendant ou hors temps d’enseignement, remise en cause de l’autorité hiérarchique sur les enseignants…)
Pour un retour à une vraie formation des stagiaires...
Après l’obtention d’un concours difficile, les stagiaires sont placés sous la double tutelle Université / Education Nationale. Ils passent la moitié de leur temps en classe, sans formation, le reste en cours et on leur en demande toujours plus : l’obtention du MASTER 2, la rédaction d’un mémoire, d’un travail scientifique réflexif, et bien entendu la préparation de la classe, l’assiduité aux cours et la présence aux réunions à l’école… C’est trop !
Tous attendent la validation en fin d’année mais pour certains, c’est prolongation de stage voire même licenciement. Et dans certains départements, on embauche les stagiaires licenciés en tant que contractuels.
Le SNUDI dit STOP ! Nos stagiaires paient le prix de la masterisation. Revenons à une véritable formation avec des stages en responsablité qui ne correspondent pas à la moitié du temps de formation. Nous exerçons un métier difficile et il est primordial de permettre à nos futurs collègues d’appréhender la complexité de ce métier dans des conditions sereines !
REP+ : assez de déréglementation !
Les REP+ constituent une voie ouverte à l’autonomie des établissements, à la flexibilité et à la déréglementation avec des missions locales et territorialisées. Cela aboutit à la mise en place de « dispositifs » (ZIL REP+, plus de maîtres que de classes, moins de 3 ans…) qui exposent les enseignants à des fonctionnements définis localement et à des pressions de toutes sortes.
Nos obligations et horaires de service n’ont pas à être subordonnés au projet de réseau REP+ en contradiction avec les garanties statutaires définies par le statut national des PE : aucune obligation de participation au dispositif REP+ et d’utilisation du « temps libéré », aucune obligation de participation aux réunions de concertation et de formation dans le cadre des 54 heures (en plus des 108 heures !) ou aux réunions du conseil école/collège, une réponse immédiate aux besoins réels des écoles (allègement des effectifs, création de classes et de postes spécialisés, reconstitution et renforcement des RASED, augmentation du nombre de remplaçants…)